Starbucks : immersion émotionnelle dans les campagnes des fêtes 2025
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Communication, Marketing - CommerceIKEA : quand la vie devient la plus belle vitrine de marque Pour sa nouvelle campagne signée Åkestam Holst, IKEA choisit de ne montrer aucun meuble. Juste la vie, dans ce qu’elle a de plus vrai, de plus fragile, de plus mouvant. Avec “Wherever Life Goes”, la marque suédoise réaffirme sa philosophie : être présente là où la vie se joue, plutôt que là où elle s’expose. Introduction Depuis des décennies, IKEA vend bien plus que des meubles : elle vend une façon d’habiter la vie.Mais dans un monde saturé d’images, où chaque publicité cherche à attirer l’attention à coups de promesses spectaculaires, la marque suédoise fait le choix inverse. Pas de produits.Pas de slogans criards.Juste une succession d’instants capturés comme des battements de cœur — une échographie, une larme, un baiser, un départ. Dans sa campagne “Wherever Life Goes”, IKEA redéfinit ce que peut être une marque dans la société contemporaine : un témoin silencieux de nos vies. 1. Le concept créatif : une poésie du quotidien Réalisée par l’agence suédoise Åkestam Holst, déjà derrière plusieurs campagnes cultes d’IKEA, la publicité s’ouvre sur une série de scènes ordinaires :un enfant qui quitte la maison, un couple qui s’installe, une jeune femme qui change de vie.Chaque scène semble anodine, mais un détail attire l’œil : une petite étiquette de prix IKEA flotte dans le décor, comme une trace invisible du passage de la marque. Aucun meuble n’est montré, et pourtant tout parle d’IKEA.Cette étiquette devient un symbole de présence — la marque n’est pas là pour se mettre en avant, mais pour accompagner. C’est une ode à l’impermanence, à la transformation, à la continuité entre nos espaces et nos émotions.Le mobilier devient invisible, parce qu’il est intégré à nos souvenirs. 2. Une exécution visuelle minimaliste, mais émotionnelle Le film — sobre, lent, sans dialogue — adopte le langage du cinéma d’auteur plutôt que celui de la publicité.Lumière naturelle, plans serrés, silences assumés : tout y respire la sincérité. Ce dépouillement visuel sert un propos : moins la marque parle, plus elle résonne.IKEA ne cherche pas à vendre, mais à rappeler pourquoi elle existe : “Wherever life goes, there we are.” Ce parti pris s’inscrit dans une tendance forte du branding contemporain : la communication par le retrait.Quand tout le monde veut capter l’attention, certaines marques gagnent en profondeur en la laissant venir à elles. 3. Un message stratégique : réaffirmer la mission, pas le produit IKEA ne parle pas de meubles, mais d’humanité.Et c’est précisément ce qui rend la campagne puissante. Elle remet la marque à sa juste place : celle d’un compagnon de route. Elle valorise l’usage plutôt que la possession. Elle connecte émotionnellement avec toutes les générations, sans segmentation artificielle. Dans un contexte de bouleversements (crise économique, transitions familiales, mobilité accrue), le message résonne comme un ancrage : “Où que la vie vous mène, IKEA sera là.” Une promesse universelle, inclusive, et rassurante. 4. Une leçon de branding émotionnel “Wherever Life Goes” illustre à merveille la maturité narrative d’IKEA.La marque ne cherche plus à convaincre — elle cherche à consoler, inspirer, accompagner. Ce storytelling de la douceur, du non-dit et du détail prouve que l’émotion n’a pas besoin d’artifice pour être mémorable.C’est une approche post-marketing : la marque ne se met plus en scène, elle s’efface derrière la vie. Ce retrait est en réalité une forme de puissance : celle d’une marque suffisamment sûre d’elle pour ne plus avoir à parler d’elle-même. Conclusion Avec “Wherever Life Goes”, IKEA signe un chef-d’œuvre de simplicité émotionnelle.Elle transforme une étiquette de prix — symbole de consommation — en symbole d’humanité.Là où d’autres cherchent la performance, IKEA choisit la présence. Une campagne qui prouve qu’au cœur du chaos moderne, la plus belle publicité, c’est encore la vie elle-même. All Posts Audio – Visuel Business Design I.A Management Non Classé Partenariat Réseaux Sociaux Liquid I.V. et LAFC : hydratation, sport et engagement climatique 10/30/2025Lire plus Oura lance une campagne “Give Us the Finger” pour inaugurer une ère plus vibrante de la santé connectée 10/18/2025Lire plus Sticking Together : pourquoi les marques et agences raffermissent leurs liens 10/17/2025Lire plus Publicis pari sur l’IA 10/16/2025Lire plus Octobre Rose : entre baisse de dépistage et critiques du pink washing 10/15/2025Lire plus Pourquoi Halloween est le terrain de jeu rêvé pour les marques 10/14/2025Lire plus Uber “In Good Time” : l’ETA au service d’une histoire d’amour 10/13/2025Lire plus Nike & Skims lancent une ligne athleisure avec une campagne prestigieuse 10/10/2025Lire plus Heinz “Looks Familiar” : logo et carton de frites en miroir 10/09/2025Lire plus Load More End of Content.
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Communication, Marketing - CommerceL’horreur, nouvel eldorado des marques La CMO de Blumhouse Productions explore comment le genre de l’horreur s’impose comme un levier stratégique pour les marques : fans de niche, IP puissantes, engagement communautaire — un mélange redoutablement efficace en marketing. Introduction Longtemps relégué aux marges du cinéma commercial, le genre horrifique s’impose aujourd’hui comme un levier de communication redoutable.Loin des simples “films à crier”, il est devenu un écosystème culturel total, capable de mobiliser des fans, d’attirer des marques et de générer des revenus sur le long terme.Pour Blumhouse Productions, pionnier du genre et producteur de sagas cultes comme Paranormal Activity, The Purgeou Get Out, l’horreur est désormais bien plus qu’un business du frisson : c’est une plateforme émotionnelle où se jouent les nouveaux codes du marketing. Jason Blum et sa Chief Marketing Officer expliquent dans Ad Age pourquoi les marques trouvent dans la peur un terrain fertile pour parler autrement au public : plus viscéralement, plus communautairement, plus sincèrement. 1. Le pouvoir des fans de niche Les amateurs d’horreur ne sont pas de simples spectateurs : ce sont des membres d’une tribu culturelle.Ils décortiquent, débattent, théorisent, reproduisent et partagent. Dans les festivals, sur TikTok, sur Reddit, ils façonnent leurs propres codes et prolongent les récits bien au-delà des écrans. Cette hyper-engagement attire les marques : elles peuvent tester des campagnes non conventionnelles, lancer des expériences participatives (escape games, teasers viraux, ARGs), ou encore s’associer à des univers narratifs déjà aimés plutôt que de partir de zéro. Le public de l’horreur valorise la créativité, la transgression et l’audace — trois qualités rarement exploitées dans la publicité mainstream. Résultat : les marques qui osent entrer dans ce territoire gagnent en authenticité et en viralité, tout en parlant à un public souvent jeune, connecté et exigeant. 2. Les IP horrifiques : des marques à part entière Les franchises d’horreur — Halloween, Insidious, The Conjuring ou Five Nights at Freddy’s — fonctionnent comme de véritables plates-formes de marque.Elles génèrent une reconnaissance immédiate, une esthétique codifiée, un langage partagé. Blumhouse a su industrialiser la peur : chaque IP est pensée comme un univers étendu, déclinable en produits dérivés, collaborations mode, jeux vidéo, événements immersifs et contenus sociaux.Les marques qui s’y associent ne parrainent pas un film, elles intègrent une mythologie. Pour une CMO, cela change tout : le partenariat devient une co-création de récit, la marque profite d’une traction émotionnelle préexistante, et l’investissement médiatique bénéficie d’un effet communautaire sans équivalent. Dans un monde saturé de publicités, l’horreur propose ce que beaucoup d’autres genres ne peuvent plus offrir : une attention sincère. 3. L’enjeu marketing : raconter, engager, exorciser Le pouvoir de l’horreur ne réside pas uniquement dans le choc ; il réside dans sa capacité à raconter des angoisses universelles — la peur du futur, de la technologie, de l’isolement ou du contrôle.C’est précisément ce qui en fait un outil narratif pertinent pour les marques : parler des inquiétudes contemporaines tout en offrant une catharsis. Le rôle du CMO devient alors celui d’un chef d’orchestre émotionnel : savoir doser la peur, l’humour et la symbolique pour transformer un sentiment en engagement durable. Conclusion L’horreur, autrefois considérée comme un sous-genre, est devenue un laboratoire stratégique pour le marketing moderne.Elle combine fandom, narratif, créativité et intensité émotionnelle — quatre ingrédients que la communication classique peine à réunir. Blumhouse a compris avant les autres que la peur est un langage universel.En la maîtrisant, la marque ne fait pas seulement trembler les spectateurs : elle inspire les marketeurs à sortir des sentiers battus.Car au fond, dans un monde saturé de messages, faire frissonner, c’est encore le meilleur moyen de faire exister une marque. All Posts Audio – Visuel Business Design I.A Management Non Classé Partenariat Réseaux Sociaux Liquid I.V. et LAFC : hydratation, sport et engagement climatique 10/30/2025Lire plus Oura lance une campagne “Give Us the Finger” pour inaugurer une ère plus vibrante de la santé connectée 10/18/2025Lire plus Sticking Together : pourquoi les marques et agences raffermissent leurs liens 10/17/2025Lire plus Publicis pari sur l’IA 10/16/2025Lire plus Octobre Rose : entre baisse de dépistage et critiques du pink washing 10/15/2025Lire plus Pourquoi Halloween est le terrain de jeu rêvé pour les marques 10/14/2025Lire plus Uber “In Good Time” : l’ETA au service d’une histoire d’amour 10/13/2025Lire plus Nike & Skims lancent une ligne athleisure avec une campagne prestigieuse 10/10/2025Lire plus Heinz “Looks Familiar” : logo et carton de frites en miroir 10/09/2025Lire plus Load More End of Content.
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Communication, Marketing - CommerceOura “Give Us the Finger” pour inaugurer une ère plus vibrante de la santé connectée Avec sa nouvelle campagne signée nice&frank, Oura réaffirme sa promesse : faire du suivi santé un acte de long terme, dans une approche inclusive et émotionnelle. “Give Us the Finger” s’adresse à tous et célèbre le rôle du ring dans l’expérience personnelle de bien-être. IntroductionLa marque health tech Oura, connue pour son ring connecté, dévoile une campagne audacieuse intitulée “Give Us the Finger”. Ce lancement transcende le simple produit : il incarne un nouvel état d’esprit, invitant à penser le bien-être comme un engagement continu et inclusif. Une évolution de positionnementOura ne se contente plus de mesurer le sommeil et les cycles : la marque mise sur la durabilité de la santé, l’âge actif, et invite les utilisateurs à s’inscrire dans une relation à long terme avec leur propre corps.Le choix du slogan — provocateur — cristallise l’idée que le ring portant vos données doit être plus qu’un outil : un symbole. Une campagne centrée sur le ring et le corpsLa campagne met en lumière le design unique du ring porté à l’index, positionné comme “capteur de vérité”.Les visuels / vidéos montrent des individus divers — âgés, sportifs, danseurs, du quotidien — incarnant l’énergie, la passion et la vie dans leurs gestes quotidiens.L’activation urbano-sociale “Give NYC the Finger” a mobilisé des seniors dans des taxis new-yorkais, brandissant leur doigt ringué comme geste symbolique de pleine santé. Enjeux & défis Trouver le juste équilibre entre provocation et respect : le slogan ne doit pas éclipser le message bien-être. Maintenir l’authenticité : les visuels doivent sentir la vie réelle, pas une esthétique trop “parfaite”. Assurer la cohérence produit / promesse : les usages du ring (tracking, données, alertes) doivent réellement servir la narration “long terme”. Ne pas se limiter à l’angle “jeunesse / performance” : l’inclusion des âges avancés est centrale à la vision de la marque. ConclusionAvec “Give Us the Finger”, Oura amorce une nouvelle phase : faire de son hardware un outil de conversation sur la santé vécue, non seulement mesurée. Le ring devient autant un emblème qu’un assistant. La campagne est un pari sur l’émotion, la symbolique et la fidélité à long terme. All Posts Audio – Visuel Business Design I.A Management Non Classé Partenariat Réseaux Sociaux Pourquoi Halloween est le terrain de jeu rêvé pour les marques 10/14/2025Lire plus Uber “In Good Time” : l’ETA au service d’une histoire d’amour 10/13/2025Lire plus Nike & Skims lancent une ligne athleisure avec une campagne prestigieuse 10/10/2025Lire plus Heinz “Looks Familiar” : logo et carton de frites en miroir 10/09/2025Lire plus L’heure du changement pour les CMO : vers un rôle réinventé 10/08/2025Lire plus Cardi B prête sa voix aux intercoms du métro new-yorkais 10/07/2025Lire plus Heineken transforme les toits de Séoul pour lutter contre la solitude urbaine 10/06/2025Lire plus Bigflo & Oli et les “Avengers de Toulouse” investissent dans le basket 10/05/2025Lire plus Bad Bunny annoncé au Super Bowl LX Halftime Show 10/04/2025Lire plus Load More End of Content.
Publicis se tourne vers l’IA Publicis (et son réseau AA) mise sur l’intelligence artificielle pour stimuler sa croissance. Ses résultats du troisième trimestre 2025 montrent une dynamique portée par les technologies et les nouveaux clients, qui lui permettent de relever ses prévisions annuelles. IntroductionPublicis, avec ses entités – dont l’agence AA –, dévoile des résultats du troisième trimestre 2025 qui confirment la montée en puissance de l’IA et du ciblage publicitaire comme leviers de croissance. L’entreprise ajuste ses ambitions à la hausse, convaincue que la technologie fait désormais partie de son ADN. Des performances solides portées par l’IALes revenus organiques du groupe progressent de l’ordre de 5,7 % sur le trimestre, soulignant une traction forte dans plusieurs marchés clés.Le groupe attribue cette croissance à l’adoption accrue de solutions publicitaires pilotées par l’IA, ainsi qu’à l’efficacité renforcée du ciblage et de la personnalisation.Face à des concurrents stagnants ou en recul, Publicis semble tirer parti du contexte en plaçant la technologie et la data au cœur de son offre client. Acquisition de nouveaux comptes et gains stratégiquesPublicis annonce avoir remporté des mandats majeurs dans diverses régions, consolidant son portefeuille clients et renforçant sa position sur des secteurs compétitifs.Ces gains servent aussi de levier médiatique : ils témoignent d’une capacité à séduire de gros annonceurs avec des propositions technologiques innovantes.Ces succès influencent directement les anticipations de croissance pour le reste de l’année. Révision à la hausse des objectifs annuelsFort de ces résultats, le groupe relève ses prévisions de croissance organique pour 2025, passant à une fourchette plus ambitieuse (jusqu’à 5,5 %) pour refléter la dynamique du marché.Cette révision traduit une confiance renouvelée dans la stratégie d’investissement en technologie, en data et en IA.Pour AA et les agences sous l’égide du groupe, cela marque un signal fort : le virage technologique ne sera pas optionnel, mais essentiel à la compétitivité. ConclusionLes résultats T3 2025 de Publicis – et par extension des agences AA – montrent un groupe en mutation, où la technologie et l’IA ne sont plus de simples outils mais des moteurs de différenciation. La vraie question : comment ces orientations se traduiront-elles concrètement dans le modèle opérationnel des agences et l’expérience client ? All Posts Audio – Visuel Business Design I.A Management Non Classé Partenariat Réseaux Sociaux Pourquoi Halloween est le terrain de jeu rêvé pour les marques 10/14/2025Lire plus Uber “In Good Time” : l’ETA au service d’une histoire d’amour 10/13/2025Lire plus Nike & Skims lancent une ligne athleisure avec une campagne prestigieuse 10/10/2025Lire plus Heinz “Looks Familiar” : logo et carton de frites en miroir 10/09/2025Lire plus L’heure du changement pour les CMO : vers un rôle réinventé 10/08/2025Lire plus Cardi B prête sa voix aux intercoms du métro new-yorkais 10/07/2025Lire plus Heineken transforme les toits de Séoul pour lutter contre la solitude urbaine 10/06/2025Lire plus Bigflo & Oli et les “Avengers de Toulouse” investissent dans le basket 10/05/2025Lire plus Bad Bunny annoncé au Super Bowl LX Halftime Show 10/04/2025Lire plus Load More End of Content.
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I.A, Marketing - CommercePourquoi Halloween est le terrain de jeu rêvé pour les marques Introduction Halloween est bien plus qu’une fête : c’est une opportunité stratégique pour les marques de renforcer le lien émotionnel avec leurs audiences. Cet article explore comment, au cours des dernières années, les marques comme Dunkin’, Cheetos ou Chipotle ont fait d’Halloween un moment clé de “brand love”. 1. L’attrait des partenariats saisonniers Plusieurs marques collaborent avec Spirit Halloween, la chaîne emblématique d’articles de saison, pour co-créer des produits ou espaces éphémères. Ces alliances offrent de la visibilité contextuelle et permettent aux marques non liées à l’horreur de s’immerger dans l’univers d’Halloween. 2. Les mécaniques qui fonctionnent Produits en édition limitée aux visuels halloweenesques (packagings, parfums, couleurs) pour capter l’attention et déclencher l’achat impulsif. Activations expérientielles : pop-ups thématiques, événements immersifs, décorations urbaines, collaborations avec des influenceurs costumés. Mécanismes sociaux et viraux : concours de costumes, UGC (utilisateur crée le contenu), filtres interactifs, défis sur les réseaux. Narrations émotionnelles : raconter une histoire autour du “fantasmé” ou de la nostalgie, transformer Halloween en moment marqueur dans le temps pour le consommateur. 3. Enjeux et bonnes pratiques Le timing est crucial : une activation trop tardive ou trop tôt peut manquer d’impact. La cohérence avec l’ADN de marque est essentielle : les initiatives doivent rester crédibles et bien intégrées à l’image de la marque. Le risque de suralimentation visuelle : trop de “décoration halloween” peut devenir cliché ou perd sa force immersive. Mesurer l’impact au-delà des ventes : engagement, notoriété, sentiment de marque, partages, relationnel. Conclusion Halloween est devenu un moment incontournable pour les marques souhaitant créer de l’émotion, de l’émulation et fidéliser. Avec des activations bien pensées, ce “festival de l’imaginaire” permet de tisser un lien affectif fort — là où le fun devient une stratégie de branding à part entière. All Posts Audio – Visuel Business Design I.A Management Non Classé Partenariat Réseaux Sociaux Nike & Skims lancent une ligne athleisure avec une campagne prestigieuse 10/10/2025Lire plus Heinz “Looks Familiar” : logo et carton de frites en miroir 10/09/2025Lire plus L’heure du changement pour les CMO : vers un rôle réinventé 10/08/2025Lire plus Cardi B prête sa voix aux intercoms du métro new-yorkais 10/07/2025Lire plus Heineken transforme les toits de Séoul pour lutter contre la solitude urbaine 10/06/2025Lire plus Bigflo & Oli et les “Avengers de Toulouse” investissent dans le basket 10/05/2025Lire plus Bad Bunny annoncé au Super Bowl LX Halftime Show 10/04/2025Lire plus Pizza Hut dévoile un nouveau logo monochrome qui divise 10/03/2025Lire plus Pourquoi chaque équipe a besoin d’un super-facilitateur 10/02/2025Lire plus Load More End of Content.
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